TROIS VARIABLES DÉTERMINENT LA QUALITÉ DE LA CICATRICE technique chirurgicale et suture du chirurgien Contrôlé par le chirurgien Les soins pré-opératoires et post-opératoires Contrôlés par le patient Le processus biologique de cicatrisation Variable imprévisible, optimisée par UrgoTouch® Pourquoi le processus BIOLOGIQUE de cicatrisation est-il très imprévisible et aléatoire? Le processus de cicatrisation se déroule en […]

Contrôlé par le chirurgien

Contrôlés par le patient

Pourquoi le processus BIOLOGIQUE de cicatrisation est-il très imprévisible et aléatoire?

Le processus de cicatrisation se déroule en 4 phases principales (hémostase, inflammation, prolifération et maturation) pendant lesquelles les facteurs de croissance (protéines qui stimulent la croissance de tissus spécifiques) jouent un rôle clé dans l’organisation du processus de guérison et dans l’orchestration de la réparation de la peau. Il ordonne notamment à d’autres types de cellules d’activer la production de collagène.

Afin d’obtenir une cicatrice esthétique et suffisamment élastique, la concentration moléculaire doit être régulée de manière appropriée pour assurer un bon équilibre entre la synthèse de :

  • Collagène de type I, qui est plus épais et plus rigide, et donc indispensable pour restaurer la matrice extra-cellulaire
  • Collagène de type III, qui contribue également à restaurer la matrice extra-cellulaire, mais qui est beaucoup plus fin et flexible que le Collagène de type I. Le Collagène de type III est donc essentiel pour rendre la cicatrice esthétique et élastique.

Si la concentration moléculaire n’est pas correctement équilibrée, la production de Collagène de type I a tendance à être trop élevée par rapport à celle de Collagène de type III, ce qui entraîne fréquemment une cicatrice plus fibrotique et moins élastique et un risque important d’avoir des cicatrices inesthétiques et problématiques.

Comment UrgoTouch optimise-t-il le processus de cicatrisation ?

UrgoTouch® est une technologie laser développée par les Laboratoires Urgo qui permet en une seule séance au bloc opératoire (juste après la suture) d’optimiser le résultat cicatriciel d’une intervention chirurgicale corporelle et peut être utilisée sur tous les phototypes de peau (phototypes I à VI).*
Il a été démontré via une étude clinique publiée qu’UrgoTouch permet de réduire le volume cicatriciel jusqu’à 53 %.*

En induisant une température de 50°C à la surface de la peau, directement sur la plaie suturée, l’objectif d’UrgoTouch est d’activer en toute sécurité la protéine de choc thermique HSP70, qui vise à protéger les cellules de la peau des dommages causés par des températures trop élevées.

Des études pré-cliniques ont clairement démontré que les protéines HSP70, qui sont surexprimées après irradiation laser, pourraient jouer un rôle dans la modulation de la réponse inflammatoire. La régulation de l’activité inflammatoire peut réduire la production de Collagène de type I ainsi que de molécules inflammatoires, conduisant ainsi à de meilleurs résultats de guérison pour les patients.**

Il a été démontré qu’UrgoTouch® optimise l’aspect des cicatrices en réduisant le caractère aléatoire et les résultats hautement imprévisibles du processus de cicatrisation lié à cette voie moléculaire.

*A 1 Year Follow-up of Post-operative Scars After the Use of a 1210nm Laser Assisted Skin Healing (LASH) Technology: A Randomized Controlled Trial. D.Casanova, ed. Aesthetic Plastic Surgery Journal. Feb 2017 – Reduction of 53% observed in a patient with dark phototype
**Capon, A.C. et al. Scar prevention by laser-assisted scar healing (LASH): a pilot study using an 810-nm diode-laser