Comment fonctionne UrgoTouch®?

UrgoTouch® est une technologie laser conçue pour optimiser la cicatrisation. Notre étude clinique publiée démontre qu’UrgoTouch® réduit le volume cicatriciel jusqu’à 53 %* en 1 seule séance au bloc opératoire** et convient à tous les phototypes de peau (I à VI).

3 facteurs influencent la qualité de la cicatrice

La suture & la technique chirurgicale

Contrôlé par le chirurgien

2

Soins Pré et post-opération

Contrôlé par le patient

Processus biologique de cicatrisation

Incontrôlé et aléatoire


Laser UrgoTouch®

Comment UrgoTouch® optimise le processus de cicatrisation?

UrgoTouch® induit une température de 50 °C sur la suture afin d’activer en toute sécurité la protéine de choc thermique HSP70, qui protège les cellules cutanées contre les dommages causés par des températures trop élevées.

Des études expérimentales ont démontré que la HSP70 pouvait jouer un rôle dans la modulation de la réponse inflammatoire. Elle pourrait ainsi réduire la production de collagène de type I ainsi que de molécules inflammatoires, ce qui améliorerait les résultats de cicatrisation chez les patients.***

Jusqu’à -53% de volume cicatriciel*

-29% de volume cicatriciel en moyenne*

-17% de rugosité cutanée en moyenne*

100% des examinateurs préfèrent la cicatrice traitée vs témoin*

Résultats sans UrgoTouch®

Cicatrice avec fibrose

Cicatrice plus souple et moins volumineuse

Pourquoi le processus de cicatrisation est-il si aléatoire ?

Le processus de cicatrisation se déroule en 4phases principales, au cours desquelles les facteurs de croissance (protéines qui stimulent la croissance de tissus spécifiques) jouent un rôle clé dans l’organisation du processus de guérison et la coordination de la régénération de la peau. Ils ordonnent notamment à d’autres types de cellules de commencer à produire du collagène.

Afin d’obtenir une cicatrice esthétique et suffisamment élastique, la concentration moléculaire doit être régulée de manière appropriée afin d’assurer un bon équilibre entre la synthèse de :

Voir +

Collagène de type I : plus épais et rigide

Collagène de type III : plus fin et flexible, essentiel à l’esthétique et l’élasticite de la cicatrice

Si la concentration moléculaire n’est pas équilibrée, la production de collagène de type I prendra le dessus sur celle de collagène de type III, ce qui entraînera une cicatrice plus fibreuse et moins élastique, ainsi qu’un risque d’avoir une cicatrice inesthétique et problématique.

FAQ


Plus de 300 chirurgiens en France et en Espagne utilisent régulièrement UrgoTouch® pour traiter leurs patients. Voici quelques-unes des questions qui nous sont le plus fréquemment posées. Pour toutes vos questions, veuillez consulter notre page FAQ.

Quelle est la différence entre UrgoTouch® et les autres lasers dédiés à l’optimisation des cicatrices ?

UrgoTouch® est le seul laser dédié à l’optimisation des cicatrices qui est utilisé en salle d’opération immédiatement après la suture (ce qui lui permet d’agir dès le début de la phase initiale de cicatrisation) et ne nécessite qu’une seule séance.

La laser est-il indiqué pour tous les types de peaux?

Le laser UrgoTouch® est indiqué pour tous les phototypes (I to V).

Combien de patients ont bénéficié du laser ?

À ce jour, plus de 40 000 patients ont déjà bénéficié du laser UrgoTouch®.

À quel moment de l’opération le laser est-il utilisé ?

Le laser UrgoTouch® nécessite une seule application en salle d’opération, lorsque le patient est sous anesthésie. Elle est réalisée à la fin de l’intervention chirurgicale, une fois que le chirurgien a terminé la suture.

Combien de patients ont bénéficié du laser ?

À ce jour, plus de 40 000 patients ont déjà bénéficié du laser UrgoTouch®.

D’autres questions?

*Contre-indication pour le visage et les personnes atteintes de cancer

**A 1 Year Follow-up of Post-operative Scars After the Use of a 1210nm Laser Assisted Skin Healing (LASH) Technology: A Randomized Controlled Trial. D.Casanova, ed. Aesthetic Plastic Surgery Journal. Feb 2017 – Reduction of 53% observed in a patient with dark phototype


***Mordon S, Capon A, et al. Lasers thermiques et cicatrisation cutanée. Med Sci (Paris). 2010 Jan